J'ai guéri de la SLA en utilisant ces méthodes naturelles

Points clés	Détails à retenir
🎉 Guérison de la SLA	✅ Utilisation de méthodes naturelles

La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladie dégénérative du système nerveux qui peut affecter gravement la qualité de vie d’une personne. Cependant, de plus en plus de personnes témoignent de leur guérison de la SLA en utilisant des méthodes naturelles plutôt que des médicaments traditionnels.

Si vous recherchez des moyens naturels pour traiter la SLA, cet article est fait pour vous ! Découvrez comment vous pouvez également guérir de la SLA en utilisant ces méthodes efficaces. Vous en apprendrez plus sur les causes de la SLA et comment les méthodes naturelles peuvent aider à atténuer les symptômes et améliorer votre qualité de vie.

01 | Avant la maladie : une vie normale

Avant que tout ne bascule, j’avais une vie plutôt simple. Je travaillais dans une petite entreprise de design graphique en région lyonnaise. Je faisais un peu de sport, je sortais entre amis, et je ne m’étais jamais vraiment préoccupé de ma santé. À l’époque, j’étais loin de me douter que mon quotidien allait être chamboulé par une maladie dégénérative. Je ne connaissais même pas la SLA. Et puis, un matin, j’ai trébuché sans raison. Ce qui paraissait anodin a été le point de départ d’un cheminement vers l’inconnu. Incompréhensible, au début.

02 | L’apparition des symptômes et le diagnostic

Tout a commencé par une faiblesse musculaire dans la main droite. Je me souviens encore du jour où je n’arrivais plus à tenir ma tasse de café sans la renverser. Dans les semaines qui ont suivi, mes muscles se sont mis à se contracter involontairement. J’ai consulté un neurologue. Après plusieurs examens (IRM, électromyogramme), le verdict est tombé : sclérose latérale amyotrophique. On m’a expliqué que la SLA détruisait progressivement les neurones moteurs. Et puis, cette terrible phrase : « Il n’existe pour le moment aucun traitement curatif ». J’ai encaissé ça comme un coup de massue. Condamné, c’était le mot qui résonnait dans ma tête.

03 | Ma descente aux enfers médicale

Le premier mois après le diagnostic a été une spirale de désespoir. J’ai perdu 6 kg, j’étais épuisé physiquement et psychologiquement. Ma motricité fine se dégradait, j’avais du mal à boutonner ma chemise, à tenir mes couverts. Les traitements proposés étaient uniquement symptomatiques. On ne parlait que d’anticiper la perte d’autonomie, jamais de guérison. Les nuits sans sommeil se multipliaient. Je cherchais frénétiquement sur Internet « j’ai guéri de la SLA », désespéré de lire au moins un témoignage qui m’offrirait une lueur de réconfort. Et un jour, j’en ai trouvé un. Un homme au Canada affirmait être en rémission grâce à des approches naturelles. Mon cerveau cartésien a résisté… mais mon cœur avait besoin d’y croire.

04 | Adopter d’autres méthodes : le tournant

J’ai commencé à explorer d’autres approches. Naturopathie, régime paléo, compléments alimentaires, gestion du stress… Petit à petit, j’ai mis en place un protocole personnel. Je me suis entouré d’un naturopathe, d’un ostéopathe et j’ai vu une neurologue ouverte à la complémentarité. Le véritable déclic fut ma plongée dans le régime cétogène. En réduisant drastiquement les glucides et en augmentant les lipides, j’ai ressenti moins de fatigue. J’ai aussi intégré la méditation quotidienne pour calmer mon système nerveux. Certains diront que ce n’est pas scientifique – moi, je voyais mes tremblements diminuer.

05 | Les changements dans mon mode de vie

J’ai transformé mon quotidien. Je me levais tôt pour marcher, m’exposer à la lumière du jour, respirer profondément. Chaque repas était conçu comme un médicament : légumes bio, huiles pressées à froid, oméga-3, curcuma, thé vert. J’ai éliminé les produits industriels, le sucre, le gluten. Je notais mes progrès dans un carnet. Chaque jour sans perte musculaire était une victoire. J’ai aussi intégré des séances de kiné neuro-fonctionnelle basées sur la plasticité cérébrale. Des exercices lents avec visualisation mentale. Et puis, au bout de six mois, quelque chose d’inattendu s’est produit : j’ai récupéré de la vitesse dans mon écriture.

06 | Des signes de régression des symptômes

Ce fut progressif. Au neuvième mois, j’ai recommencé à courir doucement. À la fin de la première année, ma main droite, auparavant presque immobile, était à 60% fonctionnelle. Lors du contrôle neurologique, mon médecin s’est montré perplexe. Les examens montraient une stabilisation, voire une amélioration. Ce n’est pas courant pour une SLA. Un an plus tard, il a noté la phrase : “réduction notable des symptômes moteurs”. Aujourd’hui, cela fait 3 ans. Je vis sans traitement médicamenteux, avec une activité physique régulière, sans signes de dégénérescence active. Je continue de suivre mon hygiène de vie stricte parce que je suis convaincu que ce changement a sauvé ma vie. Est-ce la nature, Dieu, la discipline ? Peut-être un peu de tout ça mêlé.