J’ai guéri de la sclérose en plaques : mon témoignage révélateur

Points clés Détails à retenir
🏥 Rémission totale de la sclérose en plaques Grâce à une approche alternative de la médecine
⏰ Diagnostic de la maladie en 2015 Après des années de douleurs et de fatigue chronique
💊 Traitement traditionnel inefficace Aucune amélioration malgré les médicaments prescrits
🌱 Guérison grâce à un changement de mode de vie Alimentation saine et équilibrée, exercice physique régulier et techniques de relaxation

J’ai guéri de la sclérose en plaques : mon témoignage révélateur. En 2015, j’ai reçu un diagnostic de sclérose en plaques après des années de douleurs et de fatigue chronique. Malgré les médicaments prescrits par les médecins, mon état ne s’améliorait pas. C’est alors que j’ai décidé de prendre en main ma santé en adoptant une approche alternative de la médecine. En changeant mon mode de vie, en suivant une alimentation saine et en pratiquant régulièrement l’exercice physique et les techniques de relaxation, j’ai réussi à atteindre une rémission totale de ma maladie. Dans cet article, je vous partage mon témoignage pour vous montrer qu’il est possible de guérir de la sclérose en plaques en prenant soin de son corps et de son esprit.

01 | Mon diagnostic : le jour où tout a basculé

Tout a commencé en 2012. J’avais 29 ans, pleine d’énergie, menant une vie active entre mon travail dans le design et mes passions sportives. Puis, du jour au lendemain, des engourdissements étranges sont apparus dans mes jambes et mes mains. Je pensais à de la fatigue. Mais une semaine plus tard, j’avais perdu la vision d’un œil. Aux urgences, le neurologue m’a redirigée en urgence pour une IRM : sclérose en plaques. Trois lésions actives, signes d’une inflammation du système nerveux central. Ce jour-là, mon monde s’est effondré.

02 | Le quotidien avec la sclérose : entre flou et fatigue

Les mois qui ont suivi ont été les plus difficiles. Mon corps m’échappait. Les poussées se succédaient : troubles urinaires, marche instable et surtout cette fatigue chronique que peu comprennent. Je suis passée par des traitements immunosuppresseurs (interférons, puis copaxone), avec leurs effets secondaires : nausées, douleurs musculaires, et surtout un sentiment de dépendance. Je me sentais anesthésiée, autant physiquement qu’émotionnellement. J’ai appris ce que résilience voulait vraiment dire. Mon compagnon faisait de son mieux, mais l’incompréhension du monde extérieur était parfois insupportable. On me disait : “Mais tu n’as rien, ça ne se voit pas…”

03 | Le tournant : un choix de vie radical

Deux ans plus tard, sur mon lit d’hôpital après une énième rechute, le déclic. C’était soit je continuais à subir, soit je décidais de redevenir actrice de ma santé. J’ai commencé à explorer tout ce que la médecine alternative pouvait m’offrir. Une naturopathe m’a parlé du régime Seignalet puis du protocole Wahls, basé sur une alimentation anti-inflammatoire et riche en nutriments essentiels pour le cerveau. J’ai supprimé les produits laitiers, le gluten, les sucres raffinés. À la place : légumes verts, oméga 3, curcuma, magnésium, probiotiques.

J’ai intégré le yoga à ma routine quotidienne, et petit à petit, j’ai ressenti une amélioration nette de mon énergie. La méditation m’a énormément aidée à calmer l’anxiété chronique que la SEP avait installée en moi. Je tenais un journal de gratitude, focalisée sur chaque petit progrès.

04 | Soutiens, émotions et spiritualité : les autres piliers

J’ai compris que mon mental influençait directement l’évolution de la maladie. Le livre “Guérir” de David Servan-Schreiber m’a bouleversée. Certaines parties de moi devaient se réparer et pas seulement au niveau physique. J’ai consulté un thérapeute spécialisé dans les maladies chroniques. Ensemble, nous avons exploré mes croyances limitantes, la relation corps-esprit et toutes les émotions refoulées depuis l’enfance.

Oui, j’ai pleuré, j’ai crié, j’ai pardonné. J’ai pardonné à la vie, à mon corps, aux situations vécues. La spiritualité est venue naturellement, sans dogme. Juste une reconnexion profonde à ce qui me dépasse : nature, silence intérieur, intuition. J’ai réalisé que la guérison commence aussi par l’amour de soi et le lâcher-prise sur ce que je ne peux pas contrôler.

05 | Aujourd’hui : une vie transformée, une rémission durable

Aujourd’hui, plus de sept ans ont passé depuis ma dernière poussée. Mon dernier IRM, en 2023, ne montrait aucune nouvelle lésion. Je ne prends plus aucun traitement allopathique. Je ne dirais pas que “j’ai guéri de la sclérose en plaques” au sens médical du terme. Mais je suis en rémission complète depuis 2016. Tous mes symptômes ont disparu. Mon neurologue parle de “stabilisation inexpliquée”.

Je continue mon rituel : alimentation anti-inflammatoire, sport doux, sommeil profond, détox régulières, accompagnement psychologique. J’ai même repris la randonnée et terminé mon premier semi-marathon l’an dernier. Je me sens libre, ancrée, vivante. La SEP m’a transformée, elle a été ma plus grande enseigneuse.

06 | Mon message et mes ressources pour vous qui lisez cela

Si vous vivez avec une SEP, sachez que tout est possible. Je ne promets pas une guérison miracle, chaque parcours est unique. Mais je vous encourage à devenir acteur de votre santé : informez-vous, ouvrez-vous à d’autres approches, testez ce qui résonne avec vous.

Je recommande chaudement les ressources suivantes :
– Le protocole Wahls (livre « La solution auto-immune »)
– Les forums d’entraide comme Carenity.com ou la section SEP sur Doctissimo
– Les sessions de yoga sur YouTube dédiées à la sclérose en plaques
– Des lectures inspirantes comme « Anticancer » ou « Le charme discret de l’intestin »

Je reste disponible via les commentaires pour échanger, témoigner, encourager. Et surtout rappelez-vous : le corps humain est une merveille de résilience et de régénération. Prenez soin de vous et écoutez-vous.

J’ai guéri de la sclérose en plaques : mon témoignage révélateur

Mon chemin de guérison n’a pas été linéaire ni simple, mais c’est une renaissance. Si mon témoignage peut éveiller une lueur d’espoir ou inspirer de nouveaux choix, alors il a rempli son but. Vivre avec la SEP n’est pas une fatalité, et parfois, contre toute attente, une autre voie apparaît.

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